B.I.R.D. / Ailleurs …et quelque part!
Hors lits 2 (sur une proposition de Leonardo Montechio, Cie la Mentira)
Les 22 et 23 juin 2006, Montpellier
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lacet (b.i.r.d)
Travail sur la trace et la mémoire
Descriptif :
Dans un couvent désaffecté, nous avons mené le public de pièce en pièce, en laissant sur le parcours de manière désordonnée des photos. Ces photos témoignent d’une personne installant son lit et y dormant. Le groupe a un guide. Précédant le guide, le son se déplace plus ou moins au même rythme que le groupe, pour lui soumettre l’idée que la performance aura toujours lieu dans la pièce suivante. Le parcours se termine au bout de 20min dans une pièce ou est installé un lit avec sur son contour des photos retraçant 4 petites histoires, dans 4 lieux différents du couvent. La b.i.r.d est terminée.
Idée et interprétation : Elsa Decaudin
Photo : Bastien Defives
Son : Clems (la mélodie maladroitement jouée au Ukulélé de « j’ai la mémoire qui flanche», mixée à la prise de son direct dans le couvent désaffecté et vide)
voir beaucoup plus de photos en clickant sur lacet
Montpellier Quartiers Libres, 30 septembre, 1-2 octobre 2005.
Piratage de files d’attentes
Une file d’attente est une file de gens qui sont là. Là à ne faire que ça : attendre.
L’attente est une activité en soi. En Afrique, on dit que l’attente est hors du temps.
Alors dans ce temps suspendu, nous proposons de cueillir l’attention et d’amener ces gens dans un petit voyage à travers les mots et les mouvements.
intervenants
“j’aime les patates, mais je préfère les frites.
Ca me fait culpabiliser.”
Isahbel Civelli, comédienne danseuse.
“Je vis pour ne pas éclater de rire”
Waldemar Kretchkowsky, danseur performeur.
“On se regarde, il sourit. Bêtement.
Allez dis le. Il fait trois bulles.
Alors je lave son algue en plastique verte.”
Elsa Decaudin, danseuse.
Ces piratages touchent à l’empreinte des choses de la vie, du contexte qui nous entoure, de ce qu’on a vécu, de ce sentiment parfois d’être décalé, d’être en attente, d’être à côté.
File d’attente: une action si simple, si quotidienne, y être ainsi au coeur nous espérons y voir naître des sourires, des railleries, des mécontentements, un petit plaisir, peut être des échanges, tout ce qui peut aussi définir une rencontre.
Soirée des Circulades, Saint Jean de Buéges, 34.
1er juillet 2005
Animations artistiques organisées par le festival des 4 saisons.
Total impro. (b.i.r.d)*
Rencontre de 4 danseuses, pour 4 couleurs.
Mélange de ces 4 couleurs dans le public des Circulades,
sur la place, dans la rue, dans la fête, avec eux.
clicker pour voir plus de photos : circulade
Danseuses : Anncécil Deliaud, Sarah Freby, Virginie Baffony, Elsa Decaudin
Tanztendenz, alternatif’event - Munich, août 2004
Servuss
structure en trois jours sur un parallèle entre le kung-fu et la rigidité du protocole de salutation bavarois.
Idée et interprétation , montage son : Elsa Decaudin
Aide chorégraphique : Simone Erbeck
pour visualiser la vidéo : servuss
Les EnsorSalées, résiDanse d’artistes du 19 au 25 juillet 2004 au point de vue du Salin de Giraud, organisé par Anaïs Legris
En collaboration avec JODAN, et le collectif AZALAI, 6 danseurs, 1 vidéaste, 2 musiciens se retrouvent durant 7 jours autour d’une structure artistique en collectif sur le thème du sel, gérée par Elsa Decaudin.
Le site, pour cette occasion, a été habillée de voiles-au-vent, crée par Michel Trouiller, de l’association OK mistral. Bon nombres de participants ont participé à la manufacture des voiles et de leurs installations.
voir plus de photos en clickant sur ensorsalées. si vous le souhaitez.
Production d’une vidéo danse : point de vue
associé au résultat présenté en extérieur au salin du Giraud, le dimanche 25 juillet.
pour visualiser la vidéo : clicker sur le mot souligné suivant : point de vue
Ainsi qu’une improvisation : coin de rue
sur la place Paul Doumer d’Arles
Interprètes en mouvement: Sophie Thirion, Virginie Baffoni, Elsa Decaudin, Damien Manivel, Remi Esterle, Mathieu Hocquemiller.
Musicien : Frederic Guérin, Ronald Mac
Vidéo : Bastien Defives
Festival Nuit de rêve organisé par l’association rêve de foi
Empreinte
ou impression : état de conscience produit par une action extérieure quelconque et indépendant de la réflexion.
(définition du dictionnaire encyclopédique de la langue française).
Été demandé des mots dans le public, repris par une comédienne et une danseuse pour construire des histoires, un contexte qui guidaient l’interprète sur scène. Improvisation résultat d’atelier de recherche menée durant l’année 2004 d’une durée de 20 min.
Interpréte en mouvement : Elsa Decaudin
Construction sonore : Sophie Thiron et Virginie Baffoni.
Article du samedi 17 juillet 2004 paru dans Le Progrès
« Blanlhac : premières “Nuits de rêve avec les étoiles de la danse »
« Alors que la nuit enveloppe complètement le site des moulins, le public assiste à une série de duos et de solos. Empreinte, par Elsa Decaudin de Rêve de foin, traite de l’empreinte des choses de la vie, de ce qu’on a vécu, de ce sentiment parfois décalé, une rupture entre deux choses, deux faits… »
Critique issue du site rêve de foin, écrit par Sonia Niquége.
« Puis c’est au tour de Pulx.
La compagnie axe son travail de recherche sur l’improvisation dansée et le mélange des disciplines.
Pour leur première pièce, elle sollicite la participation préalable des spectateurs à qui il est demandé de donner un mot, celui qui leur passe par la tête. De ces mots, deux conteuses fabriquent, sur scène, une histoire, retranscrite en instantanés improvisés par la danseuse Elsa Decaudin.
Figurez-vous qu’en perdant sa chaussure et en cherchant à la retrouver, on court le risque de croiser les roues d’un tracteur et de tomber, raide d’amour, aux pieds de son conducteur. Humour, inventivité, naïveté, engagement des mots et du corps. On y croit dur comme fer, à cette histoire qui naît sous nos yeux. C’est frais comme une nuit d’été du côté du Puy-en-Velay (c’est dire…). »
festival nuit de rêve, organisé par l’association rêve de foin
Dériv2e
Structure basée sur un dispositif vidéo, selon une notion de territoire, gérée par Elsa Decaudin et Bastien Defives. Un tulle placé au premier plan de la scène renvoyait les images filmées en direct derrière ou sous la scène, et permettait une vision directe de ce qui se passait sur scène. Deux couloirs de lumière délimitaient les espaces visibles dansés. Travaillé en 24h, improvisation de 20 min.
Interprètes : Virginie Baffoni, Elsa Decaudin, Damien Manivel, Remi Esterle
Vidéo : Bastien Defives
Critique issue du site rêve de foin, écrit par Sonia Niquége.
« Deuxième pièce, toujours dans la veine de l’improvisation.
Là, Pulx s’est donné quarante-huit heures pour monter une performance dansée sur une musique futuriste, en intégrant de la vidéo. Le résultat est surprenant. Un écran couvre la largeur de l’avant-scène. Les danseurs évoluent derrière lui tandis que sont projetées des images de leurs évolutions, filmées en simultané. Non seulement on assiste à la démultiplication du nombre de danseurs, mais très vite, la distinction se perd entre les deux perceptions proposées d’une même réalité.
Scène, film, où se trouve le réel, où se cache le virtuel ?
Si tous deux sont réels, ne peut-on pas aussi imaginer que tous deux soient…virtuels ?
Et si tous deux sont réels, quelle est la part du vrai et celle du faux ?
Qui a tort, qui a raison ?
Débat fort intéressant, mais je préfère me taire, j’aurais peur de vous ennuyer ».
Marathon Photo, juin 2004, Montpellier, organisé par l’association les photogènes
Dér1vé
Structure selon un problème de mathématique, développement en trois partie : dérivé, variation, intégration. Travaillé en 3 jours, improvisation de 15min.
Idée & interprétation : Elsa Decaudin et Damien Manivel
Son : Thibault Moste
Vidéo pour la production d’une vidéo danse en plan séquence : Bastien Defives
Lumière : Luc Souche
pour visualiser la vidéo : clicker sur le mot bleu et souligné suivant : dér1vée
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