Pulx

July 25, 2004

les Ensorsalées

Filed under: b.i.r.d, résidence, vidéo — elsa @ 4:33 pm

Les EnsorSalées, résiDanse d’artistes du 19 au 25 juillet 2004 au point de vue du Salin de Giraud, organisé par Anaïs Legris
En collaboration avec JODAN, et le collectif AZALAI, 6 danseurs, 1 vidéaste, 2 musiciens se retrouvent durant 7 jours autour d’une structure artistique en collectif sur le thème du sel, gérée par Elsa Decaudin.

Le site, pour cette occasion, a été habillée de voiles-au-vent, crée par Michel Trouiller, de l’association OK mistral. Bon nombres de participants ont participé à la manufacture des voiles et de leurs installations.

voir plus de photos en clickant sur ensorsalées. si vous le souhaitez.

Production d’une vidéo danse : point de vue
associé au résultat présenté en extérieur au salin du Giraud, le dimanche 25 juillet.


pour visualiser la vidéo : clicker sur le mot souligné suivant : point de vue

Ainsi qu’une improvisation : coin de rue
sur la place Paul Doumer d’Arles


Interprètes en mouvement:
Sophie Thirion, Virginie Baffoni, Elsa Decaudin, Damien Manivel, Remi Esterle, Mathieu Hocquemiller.
Musicien : Frederic Guérin, Ronald Mac
Vidéo : Bastien Defives

July 18, 2004

Empreinte

Filed under: b.i.r.d — elsa @ 1:52 pm

Festival Nuit de rêve organisé par l’association rêve de foi

Empreinte

ou impression : état de conscience produit par une action extérieure quelconque et indépendant de la réflexion.
(définition du dictionnaire encyclopédique de la langue française).


Été demandé des mots dans le public, repris par une comédienne et une danseuse pour construire des histoires, un contexte qui guidaient l’interprète sur scène. Improvisation résultat d’atelier de recherche menée durant l’année 2004 d’une durée de 20 min.

Interpréte en mouvement : Elsa Decaudin
Construction sonore : Sophie Thiron et Virginie Baffoni.

Article du samedi 17 juillet 2004 paru dans Le Progrès

« Blanlhac : premières “Nuits de rêve avec les étoiles de la danse »

« Alors que la nuit enveloppe complètement le site des moulins, le public assiste à une série de duos et de solos. Empreinte, par Elsa Decaudin de Rêve de foin, traite de l’empreinte des choses de la vie, de ce qu’on a vécu, de ce sentiment parfois décalé, une rupture entre deux choses, deux faits… »

Critique issue du site rêve de foin, écrit par Sonia Niquége.

« Puis c’est au tour de Pulx.
La compagnie axe son travail de recherche sur l’improvisation dansée et le mélange des disciplines.
Pour leur première pièce, elle sollicite la participation préalable des spectateurs à qui il est demandé de donner un mot, celui qui leur passe par la tête. De ces mots, deux conteuses fabriquent, sur scène, une histoire, retranscrite en instantanés improvisés par la danseuse Elsa Decaudin.
Figurez-vous qu’en perdant sa chaussure et en cherchant à la retrouver, on court le risque de croiser les roues d’un tracteur et de tomber, raide d’amour, aux pieds de son conducteur. Humour, inventivité, naïveté, engagement des mots et du corps. On y croit dur comme fer, à cette histoire qui naît sous nos yeux. C’est frais comme une nuit d’été du côté du Puy-en-Velay (c’est dire…). »

July 17, 2004

Dériv2e

Filed under: b.i.r.d — elsa @ 4:28 pm

festival nuit de rêve, organisé par l’association rêve de foin
Dériv2e

Structure basée sur un dispositif vidéo, selon une notion de territoire, gérée par Elsa Decaudin et Bastien Defives. Un tulle placé au premier plan de la scène renvoyait les images filmées en direct derrière ou sous la scène, et permettait une vision directe de ce qui se passait sur scène. Deux couloirs de lumière délimitaient les espaces visibles dansés. Travaillé en 24h, improvisation de 20 min.

Interprètes : Virginie Baffoni, Elsa Decaudin, Damien Manivel, Remi Esterle
Vidéo : Bastien Defives

Critique issue du site rêve de foin, écrit par Sonia Niquége.

« Deuxième pièce, toujours dans la veine de l’improvisation.
Là, Pulx s’est donné quarante-huit heures pour monter une performance dansée sur une musique futuriste, en intégrant de la vidéo. Le résultat est surprenant. Un écran couvre la largeur de l’avant-scène. Les danseurs évoluent derrière lui tandis que sont projetées des images de leurs évolutions, filmées en simultané. Non seulement on assiste à la démultiplication du nombre de danseurs, mais très vite, la distinction se perd entre les deux perceptions proposées d’une même réalité.
Scène, film, où se trouve le réel, où se cache le virtuel ?
Si tous deux sont réels, ne peut-on pas aussi imaginer que tous deux soient…virtuels ?
Et si tous deux sont réels, quelle est la part du vrai et celle du faux ?
Qui a tort, qui a raison ?
Débat fort intéressant, mais je préfère me taire, j’aurais peur de vous ennuyer ».

Powered by WordPress