hmmm
Bonjour
nous vous invitons à cliquer ici :www.pulx.org
et hop vous serez sur le site officiel de pulx et surtout à jour !!
ce blog est un peu oublié comme vous pourriez l’avoir remarqué, disons en stand by, mais l’activité de PulX ne l’est pas, loin de là !
Merci de votre compréhension !
Pour une semaine, à Nantes, à la fabrique, quartier Dervallières, 20 personnes, des lieux, des espaces, des rythmes, des rencontres, des échanges, des expériences, des expérimentations, des écrits, des lectures, des séances, des impros, des performances, des photos , des points roses, des constellations, des pâtès de patates, du chili, du choco, du vin, de la bière, de grandes discussions, de petites blagues, de la liberté, de la créativité, du thé, du café, des papillotes, des envies, de la volonté, de belles soirées, du travail.
Bref, un temps précieux.
Merci à eux : revue ce qui secret
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contribution à la revue : cliquez ici :
hm from elsa decaudin on Vimeo.
Recette à danser n°15
(1)
Milk shake très gai ! »
Ingrédients :
- Tressautement d’épaule
- Pose douce et sucrée
- Mou et affectation rétro ( poirauter en mode blasé quoi !)
- Déhanchement glamour
- Quelques classiques fouettés
- Pas de deux pétillant
- Battu de main droite pour rafraîchir bas de joue droite avec soupir.
- Série de plié et déplié de coudes en symétrie (coude fixe, avant-bras en mouvement)
- Marche par pied jeté
Épices :
- Un peu beaucoup de nonchalance
- Un enthousiasme très frais
Ustensiles : porter une certaine évanescence.
Intro (2)
Préparation :
Allez, marmitons, on tressaute des épaules, on frétille des omoplates, on secoue les clavicules.
Hop la : on suspend dans une pause douce et sucrée …
Incorporer délicatement le battu de main droite pour rafraîchir bas de joue droite. Et soupirer.
On ajoute alors quelques déhanchements glamour. Hmmmmm
Mixer avec une série de plié et déplié de coudes en symétrie (Attention ceci est important : coudes fixes, seuls les avant-bras sont en mouvement.)
Délayer en marchant … franchement : jeté, le pied.
(3) « Take a walk on a wild side … Solo ! »
(4) « Hey Honeys ! shake your bodies in a same Wild ! »
Ok OK OK ok on laisse reposer avec un peu beaucoup de nonchalance… et faire revenir mou et affectation rétro.
Garnir de pas de deux Pétillant.
Parsemer de quelques classiques fouettés dans un enthousiasme très frais.
Pas de Cuisson , servir très frais, très gai !
Feuille de route pour Caro
Je t’imagine dans un personnage assez typé, type cow girl face à son troupeau, avec un accent anglais (tout le temps ou par intermittence), assez rude et susceptible mais plein d’humour et de charme. Pouvant malmener le troupeau (enfin le groupe) de danseurs et le public.
En fait tu fais comme tu veux, bien entendu, mais j’essaie une autre forme stylistique cette fois-ci : la didascalie…
(1) Petit bla bla de présentation :
Attention seule toi Caro connaît ce texte, pour le reste du groupe, c’est la découverte. Ce qui signifie que ce qui est à voir est de l’impro !
(2) Intro juste pour toi Caro
Tu peux chantonner doo doo doo doo ce fameux refrain de la chanson de Lou Reed « take a walk on a wide side » que tu pourras reprendre à loisir, jusqu’à écoeurement, tout au long de la recette. Garde bien ainsi le côté fou de ton personnage. (Je viens de lire la traduction de la chanson, je suis franchement surprise…Je vais rester sur une interprétation un peu naïve)
Je te propose de jouer (et danser) avec cet air comme si tu étais la seule à pouvoir le chanter (et danser dessus) et ne pas accepter que quelqu’un d’autre le chantonne (ou dansotte).
Bref c’est ton solo !
Tu enchaînes sur la préparation quand tu le sens.
(3) … Et à ce moment-là …
Tu peux en choisir un ou une du groupe, faire un espace autour de lui ou elle , le désigner et lui demander de faire un solo en lui disant la fameuse phrase du refrain : « hey babe, take a walk on a wild side ! » avec l’injonction à l’impératif imparable : « solo ! »
Ce qui signifie qu’effectivement j’entends que les autres du troupeau soutiennent ce solo … D’une manière ou d’une autre avec toute leur nonchalance.
Tu mets fin au solo quand tu veux et passe à l’étape (4) ci-dessous.
(4) Injonction au reste du groupe de rejoindre le solo et de la transformer en une danse collective folle et libre … « Hey Honeys ! shake your bodies in a same Wild ! »
By Elsa, avec grand plaisir
Recette à danser n°14
Charme & Castagne
Ingrédients :
- Poings fermés et bagarreurs
- Ballottés à foison (Ballotté : saut sur place d’un pied sur l’autre et d’avant en arrière, composé de battements alternativement développés.)
- Série de déboulés décortiqués
- Doigts sensibles et vitaminés
- Arabesques cambrées et moelleuses
- Bourrée (pas-de-bourrée - pas en trois temps qui permet un changement de pied simple avec un léger déplacement latéral.)
- Quelques cabrioles en fouetté
- Bras organiques chargés de sève gustative (mouvement de bras ayant goût et caractère)
Épices :
- Un filet de sophistication
- 1 pincée de sourire
- 1 pointe de charme
Préparation :
Disposer les marmitons bien juxtaposés afin de les assouplir et faciliter ainsi leur préparation.
Petite digression (n°1): La castagne est un aliment qui nous vient de loin, sans doute du Moyen- Orient. Riche mais populaire, il passe dans le langage commun, ainsi sachez qu’au moyen age il y avait l’expression « parer chastaignes à quelqu’un » ce qui voulait dire « lui préparer un bon accueil », et aussi « peler chastaignes à quelqu’un » pour « lui dorer la pilule ». Entendu marmiton ?
Appliquer alors une série de déboulés décortiqués avec un filet de sophistication, fouettée de quelques cabrioles.
Digression linguistique (n°2) : au fait castagne : châtaigne ou marron ? Il existe une différence fondamentale entre la châtaigne et le marron. Elle est facile à voir. L’enveloppe de la châtaigne, la bogue, est cloisonnée et elle contient deux ou trois fruits. Le marron, égoïste, mûrit seul dans sa bogue.
Rassemblez vous marmitons pour des arabesques cambrées, moelleuses et solidaires ! Ajoutez alors une pointe de charme, et public : c’est à vous, n’hésitez pas à chantonner pour les accompagner l’air du boléro bien connu et lui aussi populaire de « besame mucho ! »
Digression (n°3) : Y a t-il un rapport entre la castagne étudiée et le Mexique, berceau de ce boléro ? je n’en ai pas trouvé sauf le « populaire » que je n’ai pas hésité à répéter…
Laisser alors envahir l’espace de bras organiques chargés de sève gustative (mouvement de bras ayant goût et caractère), faire circuler et saliver au moyen de pas de bourrée - je rappelle sur un rythme en trois temps, qui peut-être soutenu par vous public au moyen de claquement de doigt, de tapotement de main ou de ce que vous voulez. Soyons généreux !
Digression (n°4) : Revenons aux expressions. Se prendre une châtaigne ! ça va castagner ! Prendre un coup sur le marron ! Surprenant ce paradoxe entre ce fruit moelleux, goutu et la violence sous-entendue. Mais la castagne est un produit sauvage ! tout s’explique…
Marmitons, incorporez des ballottés, fermer vos poings. Allez-y, illustrez la castagne ! (Rappel : Ballotté en langage ballet classique : saut sur place d’un pied sur l’autre et d’avant en arrière, composé de battements alternativement développés.). À châtaigne décortiquée, saveur évoluée !
Une petite digression encore (n°5) : Prendre un coup sur le marron signifie prendre un coup sur la tête. Ce parallèle entre tête et marron serait déterminé par la couleur que prend la tête quand elle a pris des marrons- avis datant de 1896 par Monsieur Von Wartburg. Je n’ai rien inventé…
Laisser reposer en maintenant des manifestations allègres et décidés au travers de vos doigts devenus ainsi sensibles et vitaminés, et de nouveau, quelques pas de bourrée !
Marmitons, vous pouvez reprendre certaines cessions de cette recette, détourner l’interprétation si nécessaire à sa bonne prise. Dégustez !
By Elsa, avec grand plaisir
Recette à danser n°13
La Tajine d’automne qui a la pêche
- Mouvement agité des doigts : type mouvement aller-retour autour des articulations.
- Marche aux genoux anguleux
- Bond
- Tour Toupie à la Derviche Tourneur (bras bien écarté, important pour la forme)
- Bras organiques à la douce énergie contagieuse
- Pied sur genou
- Main gauche sur épaule droite
- Une pincée de sourire
- Une pointe de coquetterie dans le regard.
- Rire
- Série de claquement de doigts
Préparation
La marinade :
Verser du dessus de la tête 6 mains avec Index, Majeur et pouce en mouvement très agité.
Ajouter une pincée de sourire et une pointe de coquetterie dans le regard.
Frotter alors ces mains conviviales contre des épaules (ou omoplates).
Il est possible de frotter du mollet, de la cuisse ou du flanc si une franche sympathie est présente – attention tout de même à ne pas trop échauffer la préparation si des chatouillements apparaissent.
Laisser mariner.
La Tajine
Faire bondir genoux et chevilles avec le reste de coquetterie.
Incorporer un zeste de souffle pour étouffer et garder ainsi l’énergie libérée.
Utiliser cette vapeur pour déclencher une marche comique aux genoux anguleux.
Arroser largement de rire.
Saisir pied sur genoux, incorporer main gauche sur épaule droite.
Laisser mijoter sur une série de claquement de doigts (revenus de la marinade).
Condenser marinade, sauce, corps, épices, souffles dans un Tour Toupie à la Derviche Tourneur.
Faire durer, faire évoluer, ces tours peuvent être sur place, en duo, en groupe, sur herbe, sur goudron, sur table, sur genoux, sur pointe de pied (façon déboulé), … À compléter à volonté et à haute voix.
Accompagner d’un « LA » à la bel canto.
Remarque : Pour un effet plus sucré salé. Faire revenir les bras en de beaux mouvements organiques à la douce énergie contagieuse. Mais dans ce cas, ajouter les seulement en fin de cuisson.
By Elsa, avec grand plaisir
Dans le cadre des journées du patrimoine, nous vous proposons une spécialité culinaire locale :
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La tielle déjantée
- Sauts bras-en-haut Epices :
- Des portés - une pincée de sourire
- Grands pliés en grande seconde - des souffles de rire
- Bruit de succion
- Agitation des doigts de façon déjanté Epices :
- Poignets mobiles - une poignée de gargouillade
- Amples mouvements de bras - quelques mains sur genoux
- Équilibre
- Coupé et fouetté de jambes
- Pas ballotté - saut sur place d’un pied sur l’autre- Epices :
- Un grand grand plié - piment de cris :« Aï ! »« Aî ! »
- Des bras jetés - un bel canto (une belle voix)
- Des penchés
Délicatement, verser les marmitons un par un de façon à former un tas.
Ajouter une pincée de sourire et quelques souffles de rire.
Travailler ce tas à l’aide de moult portés…Accompagné des bruits de succion « slurp ».
Couper ensuite d’une série de grands pliés en grande seconde, afin de bien étendre cette pâte.
Piquer de quelques sauts bras-en-haut.
Laisser reposer un peu et malaxer une seconde fois cette pâte.
(Répéter quand marmitons en mouvement)
Préparer les bras, relever les manches et dégourdir les doigts de façon déjantée sur poignet mobile-, - rythme « A capriccio » ou librement-.
À rythme « adagietto » assez lent, faire revenir cette agile garniture le long d’amples mouvements de bras.
Ajouter alors une poignets de gargouillade – soit en vocabulaire classique : le « saut de chat », crée au XVIIIème siècle par la fameuse danseuse belge nommée la Camargo -.
Dans un rythme « acceso » accéléré (n’oublions pas que le tielle nous vient tout droit d’Italie) alterner coupé et fouetté de jambe.
Saisir d’un équilibre.
Laisser mijoter mains sur genoux.
Reprendre une seconde fois la préparation de la garniture pour accentuer les notes épicées.
(Répéter quand marmitons en mouvement)
Rassembler les marmitons selon un cercle.
Remplir allégrement de pas ballotté - saut sur place d’un pied sur l’autre-, pimenté de quelques cris tels que « Aï ! »« Aî ! »
Recouvrir d’un grand grand plié majestueux.
Cuisson : dans un bel canto (d’une belle voix)
Servir sans attendre !
By Elsa, avec grand plaisir
photos de Steven Morlier.
Recette à danser n°11
Goûter royal aux saveurs graciles»
Ingrédients :
- Frottis de dos contre-dos Epices :
- Sauté de 2 genoux - un brin de sifflotement
- Concentré de bras - une pincée d’exaltation
- Équilibre suspendu
- Déboulé
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- Pirouette gracieuse et candide Epices :
- Plié ajouré - une pincée de soupirs
- Main offerte – très aristocratique
- Divers arrêts permettant de vibrants battements de cils
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- Révérence Epices :
- Port de bras - une pointe de sourire
Ustensiles : disposer de bleu.
Cuisson : en deux fois au moins pour la pâte, à l’étouffée pour la garniture et à vif pour le glaçage
Préparation :
Agiter le concentré de bras de bas en haut.
Délayer jusqu’à obtenir une série d’équilibre suspendu.
Rassembler alors les marmitons sur un brin de sifflotement.
Étaler les 2 par 2, afin de les amalgamer, délicatement ajouter le frottis de dos contre-dos.
Saisir de 3 sautés de 2 genoux.
À l’aide de déboulés et d’une pointe d’exaltation, façonner un cercle.
Laisser reposer.
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Faire fondre les pliés ajourés avec une pincée de soupirs graciles, tout en tapissant ce cercle de mains offertes (comme pour un charmant baise main par exemple)- très aristocratique.
Creusez des spirales à l’aide de pirouettes gracieuses et candides.
Nappez généreusement de divers arrêts permettant de vibrants battements de cils.
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Faire revenir une révérence avec une pointe de sourire.
Tamisez alors de ports de bras en un decrescendo continu.
By Elsa, avec grand plaisir
Ajouré : Ornementé en perçant des trous qui laissent passer la lumière.
Déboulé : enchaînement de tours rapides
Port de bras : le port de bras est, comme l’indique son nom, un porté, c’est-à-dire qu’on soutient l’action des bras et qu’on reste dans la position où on est pour les déplacer harmonieusement.
ici cliquez pour plus de photos !!
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Recette à danser n°10
Soupoukanja de falsetas
Un délice tout à fait dépaysant !
Ingrédients :
- Développés de jambes chevaleresques
- Des pas chassés
- Un équilibre sens dessus dessous
- 3 pauses de profil dont une en grande « grande quatrième »
- Des bras amples et suffisants
- Série de regard en biais
- 1 accélération
- Dos de main sur hanche fière et arrogante
- 1 tour
- S’accroupir et regarder autour
Épices :
- Un peu d’exaltation avec soupirs exagérés
- Un brin de fierté
- Une poignée de claquements de doigts
Ustensiles : porter du rouge sur soi.
Préparation :
Disposer les marmitons côte à côte selon un belle ligne.
Échauffer les délicatement avec quelques développés de jambes chevaleresques.
Relever un peu d’exaltation avec soupirs exagérés.
Entretenir de pas chassés traversant et perturbant.
Plonger alors dans un équilibre sens dessus dessous.
Bien, il est alors possible d’émettre un cri « Hi Ha ! » par exemple, de satisfaction ou d’encouragement.
Faire revenir avec grâce les bras amples et suffisants, accompagnés de quelques regards en biais.
Saisir le mélange au travers de 3 pauses de profil dont une en grande « grande quatrième ».
Se répartir harmonieusement, s’accroupir subitement et regarder attentivement autour.
Agiter alors d’une poignée de claquements de doigts.
Relever d’un brin de fierté, dos de main sur hanche fière et arrogante.
Ajouter, dans une accélération, un cri et un tour.
Laisser reposer.
Cuisson force 3, servir sur une sauce rythmique relevée.
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Recette à danser n°9
Minestra fraîche à la sympathie délurée
Ingrédients :
- Coude sur tête
- Fricotis de doigts
- Équilibres chaloupés
- Déambulation coquine sur 4 appuis
- Arrêt surprenant
- Gigotin de genoux sautillant
- Ralenti sur sourire charmeur
- Tapoti sur épaule
- Regard élevé et inspiré
- coudés franches et riantes
Épices :
- Un filet de sophistication
- 1 pincée narquoise
- Passion italienne
Préparation : (attention : entre guillemet : la passion italienne)
Répartir les marmitons harmonieusement.
Les faire mariner le regard élevé et inspiré …
( Imaginez l’ange Gabriel qui dit-on vous donnera alors force et courage …)
Y ajouter le fricotis de doigts dans un filet de sophistication, mais « Tremendo » (tremendo : terrible)
Incorporer les coudés franches riantes, « allegro ».
Parsemer de quelques coudes sur têtes sympathiques, « a piacere ».
Ajouter ensuite le gigotin de genoux sautillant, faire revenir crescendo.
( Quelques sons ou onomatopées d’encouragement sont indiqués comme bienvenus, voire nécessaires ! telles que « ouh la ! » « hop la ! » « waouh ! » ou applaudissement en rythme « Burlando » et « marcato » ; enjoué et marqué)
Saisir d’un arrêt brusque et surprenant, « Acciaccatura » (ne pas lésiner sur l’accent italien). (Acciaccatura : bref, ornementale et non préparé)
Délicatement, « Affettuoso », mijoter la déambulation coquine sur 4 appuis.
Mijoter.
Et saupoudrer de ralenti sur sourires charmeurs, « Animato ».
Harponner alors le goût distillé d’équilibres chaloupés, « Con brio » (mas non troppo …)
Avec une pincée narquoise, répandre une série de tapoti sur épaule en susurrant « ciao Bello » ou « ciao Bella » selon la nature du propriétaire de l’épaule, à la « Ballabile » de préférence. (Ballabile : dansable)
Renouveler les manoeuvres autant de fois nécessaires pour adoucir cette minestra. La fraîcheur est à chercher tout au long de la préparation.
Servir sur un lit naturel de chant de cigale et de tintements de verres.
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